
31 juillet 2018
Carlos m'emmène à l'aéroport, c'est ici que nous nous séparons. J'embarque pour Santiago de Cuba dans une antiquité de l'aviation civile. Après quelques frayeurs, j'arrive dans l'ancienne capitale de l'île, à son extrémité Est.
Alberto m'attend à l'arrivée. Ce jeune cubain de 29 ans parle parfaitement français et connaît l'île comme sa poche. Avant de poser mes affaires à la "casa particular", il tient à me faire découvrir le "Carnaval acuatico", le précarnaval de Santiago. Sur le malecón, le soleil se couche au rythme du raeggaton craché par d'immenses enceintes. Des Cubains de tous âges assèchent des bouteilles de rhum par quantité. La fête peut commencer.